Envie de..
Plein de choses...
La vie est complexe. Elle a une partie réelle et une partie imaginaire.
Est-ce que j'aime les maths? J'aime penser que oui, mais en réalité. Les maths sont pour moi une sorte de chose insaisissable, presque incohérente. Quelle ironie sachant la voie que j'ai choisi. j'ai toujours eu un rapport étrange avec les maths. Attraction/Répulsion.
J'AIME LES MATHS
Faute avouée à moitié pardonnée. Conneries! Jolies conneries. Je me suis perdus cette nuit...
Et parce que je les aime :
Petit bout ...
La pièce était simple, lumineuse. Quel paradoxe. Deux lits de facture simple côtoyaient une modeste bibliothèque. Une petite porte verte sur le coté droit menait sans doute à la salle de bain. Elle détestait cette pièce. Ils étaient assis dans l’herbe, dans les jardins. Ils regardaient fixement devant eux, n’osant pas se regarder. Elle profitait de ce moment, la bise lui fouettant les cheveux. Elle ne savait plus quoi penser, il avait tout bouleversé. Anakin posa sa main sur le dos de la sienne. Elle frissonna à son contact et tourna sa main de façon à pouvoir serrer la sienne. Elle était si belle… - Pourquoi, pourquoi es tu ici , avec " eux " ? Il fut surpris par la force de sa voix et il lui répondit ; - Une certaine chose doit être faite. Elle resta muette quelques instants. - J’espère qu’elle en vaut vraiment la peine. - Moi aussi …Je crois que c’est l’heure. Ils se levèrent et se mirent en marche vers le château. Iris avançait avec difficultés. Sa blessure à la jambe gauche la faisait souffrir. Anakin l’aida à gravir les dernières marches qui menait à la salle à manger. Ils étaient déjà tous là. " Lui " aussi. Ils s’installèrent sans bruit. - Il était grand temps. Les mots claquèrent dans la grande salle. Tous les visages étaient tournés vers eux. -Désolé Maître, désolé … murmura Lothaire. Cela ne se reproduira plus. - Je l’espère bien Lothaire. Il avait l’air si faible en cet instant. Iris ne comprenait pas. La faiblesse est une chose qu’elle pardonne rarement…